Saviez-vous que...?

Les enfants qui se sont présentés à un centres d’appui aux enfants sont plus susceptibles de déclarer qu’ils n’ont pas été effrayés au cours de l’entrevue médico-légale comparativement aux enfants où il n’y a pas de CAE.

Les centres d’appui aux enfants (CAE) offrent une approche uniforme, coordonnée et axée sur la collaboration qui vise à répondre aux besoins des enfants qui sont des victimes ou qui ont été témoins d’un acte criminel. En offrant à ces enfants ainsi qu’à leur famille un cadre adapté, les CAE minimisent les traumatismes subis par les enfants en raison du contact avec le système de justice.

Pour plus de renseignements, veuillez cliquer sur les liens suivants : Précis des faits

Les délinquants condamnés pour une infraction prévue au Code criminel ou à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances doivent payer une amende aux fins du financement des services d’aide aux victimes au Canada.

Cette suramende compensatoire est une amende que les délinquants doivent payer et qui sera placée dans un fonds spécial, parfois appelé « Fonds d'aide aux victimes d'actes criminels » administré par la province ou le territoire où l'acte criminel a été perpétré. La somme d'argent n'est pas remise directement aux victimes, mais sert à dispenser des services et de l'aide à l'ensemble des victimes d'actes criminels.

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La famille constitue une source importante de conseils et de soutien pour les victimes de crimes violents.

Un sondage effectué par EKOS Research au nom du ministère de la Justice du Canada révèle que les principales sources d’aide citées vers lesquelles les répondants se tourneraient si eux-mêmes ou une personne qui leur est proche étaient victimes d’un crime violent sont les suivantes : les services de police (93 %), les membres de la famille (77 %), les professionnels de la santé (69 %), les services d’aide aux victimes (63 %) et les amis ou les collègues de travail (58 %).

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Le Ministère de la Justice offre une aide financière aux victimes inscrites qui souhaitent assister à une audience de libération conditionnelle où comparait le délinquant qui lui a causé du tort afin de participer pleinement au processus de justice pénale.

Cette aide financière est offerte aux victimes de délinquants condamnés à des établissements correctionnels fédéraux pour aider les victimes à participer pleinement dans le système de justice pénale. Une assistance financière est également disponible pour permettre à une personne d'accompagner une victime à une audience de la CLCC, ou encore pour les frais de garde des enfants et des autres personnes à charge que peut occasionner la participation d'une victime à une audience.

Pour plus de renseignements, veuillez cliquer sur le lien suivant : Présence aux audiences de la Commission des libérations conditionnelles du Canada

Une victime peut faire une déclaration dont doit tenir compte le tribunal au moment de la détermination de la peine en vue de décrire tout préjudice corporel ou moral ou toute perte subi par la victime en raison de l’infraction.

Cette déclaration est appelée déclaration de la victime et peut être également préparée par les survivants de victimes décédées, par le parent ou le tuteur d'un enfant victime ou par le conjoint, une personne à charge ou un proche parent d'une victime qui n'est pas en mesure de faire une déclaration. De plus, une déclaration des répercussions sur la collectivité peut être faite par une personne pour le compte de sa collectivité en vue de décrire un préjudice ou une perte subi par la collectivité en raison de l'acte criminel perpétré.

Pour plus de renseignements, veuillez cliquer sur le lien suivant : Déclaration de la victime

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